Mesétoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Le plus beau vers de la langue française pour moi, du plus beau poème. J’ai dû dire Ma bohème des milliers de fois, à l’écoute de sa celeste musique je suis depuis tout petit transporté de bonheur.
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C'est une nuit d'été ; nuit dont les vastes ailes Font jaillir dans l'azur des milliers d'étincelles ; Qui, ravivant le ciel comme un miroir terni, Permet à l'oeil charmé d'en sonder l'infini ; Nuit où le firmament, dépouillé de nuages, De ce livre de feu rouvre toutes les pages ! Sur le dernier sommet des monts, d'où le regard Dans un trouble horizon se répand au hasard, Je m'assieds en silence, et laisse ma pensée Flotter comme une mer où la lune est bercée. L'harmonieux Ether, dans ses vagues d'azur, Enveloppe les monts d'un fluide plus pur ; Leurs contours qu'il éteint, leurs cimes qu'il efface, Semblent nager dans l'air et trembler dans l'espace, Comme on voit jusqu'au fond d'une mer en repos L'ombre de son rivage, onduler sous les flots ! Sous ce jour sans rayon, plus serein qu'une aurore, A l'oeil contemplatif la terre semble éclore ; Elle déroule au loin ses horizons divers Où se joua la main qui sculpta l'univers ! Là, semblable à la vague, une colline ondule, Là, le coteau poursuit le coteau qui recule, Et le vallon, voilé de verdoyants rideaux, Se creuse comme un lit pour l'ombre et pour les eaux ; Ici s'étend la plaine, où, comme sur la grève, La vague des épis s'abaisse et se relève ; Là, pareil au serpent dont les noeuds sont rompus, Le fleuve, renouant ses flots interrompus, Trace à son cours d'argent des méandres sans nombre, Se perd sous la colline et reparaît dans l'ombre Comme un nuage noir, les profondes forêts D'une tâche grisâtre ombragent les guérets, Et plus loin, où la plage en croissant se reploie, Où le regard confus dans les vapeurs se noie, Un golfe de la mer, d'îles entrecoupé, Des blancs reflets du ciel par la lune frappé, Comme un vaste miroir, brisé sur la poussière, Réfléchit dans l'obscur des fragments de lumière. Que le séjour de l'homme est divin, quand la nuit De la vie orageuse étouffe ainsi le bruit ! Ce sommeil qui d'en haut tombe avec la rosée Et ralentit le cours de la vie épuisée, Semble planer aussi sur tous les éléments, Et de tout ce qui vit calmer les battements ; Lin silence pieux s'étend sur la nature, Le fleuve a son éclat, mais n'a plus son murmure, Les chemins sont déserts, les chaumières sans voix, Nulle feuille ne tremble à la voûte des bois, Et la mer elle-même, expirant sur sa rive, Roule à peine à la plage une lame plaintive ; On dirait, en voyant ce monde sans échos, Où l'oreille jouit d'un magique repos, Où tout est majesté, crépuscule, silence, Et dont le regard seul atteste l'existence, Que l'on contemple en songe, à travers le passé, Le fantôme d'un monde où la vie a cessé ! Seulement, dans les troncs des pins aux larges cimes, Dont les groupes épars croissent sur ces abîmes, L'haleine de la nuit, qui se brise parfois, Répand de loin en loin d'harmonieuses voix, Comme pour attester, dans leur cime sonore, Que ce monde, assoupi, palpite et vit encore. Un monde est assoupi sous la voûte des cieux ? Mais dans la voûte même où s'élèvent mes yeux, Que de mondes nouveaux, que de soleils sans nombre, Trahis par leur splendeur, étincellent dans l'ombre ! Les signes épuisés s'usent à les compter, Et l'âme infatigable est lasse d'y monter ! Les siècles, accusant leur alphabet stérile, De ces astres sans fin n'ont nommé qu'un sur mille ; Que dis-je! Aux bords des cieux, ils n'ont vu qu'ondoyer Les mourantes lueurs de ce lointain foyer ; Là l'antique Orion des nuits perçant les voiles Dont Job a le premier nommé les sept étoiles ; Le navire fendant l'éther silencieux, Le bouvier dont le char se traîne dans les cieux, La lyre aux cordes d'or, le cygne aux blanches ailes, Le coursier qui du ciel tire des étincelles, La balance inclinant son bassin incertain, Les blonds cheveux livrés au souffle du matin, Le bélier, le taureau, l'aigle, le sagittaire, Tout ce que les pasteurs contemplaient sur la terre, Tout ce que les héros voulaient éterniser, Tout ce que les amants ont pu diviniser, Transporté dans le ciel par de touchants emblèmes, N'a pu donner des noms à ces brillants systèmes. Les cieux pour les mortels sont un livre entrouvert, Ligne à ligne à leurs yeux par la nature offert ; Chaque siècle avec peine en déchiffre une page, Et dit Ici finit ce magnifique ouvrage Mais sans cesse le doigt du céleste écrivain Tourne un feuillet de plus de ce livre divin, Et l'oeil voit, ébloui par ces brillants mystères, Etinceler sans fin de plus beaux caractères ! Que dis-je ? À chaque veille, un sage audacieux Dans l'espace sans bords s'ouvre de nouveaux cieux ; Depuis que le cristal qui rapproche les mondes Perce du vaste Ether les distances profondes, Et porte le regard dans l'infini perdu, Jusqu'où l'oeil du calcul recule confondu, Les cieux se sont ouverts comme une voûte sombre Qui laisse en se brisant évanouir son ombre ; Ses feux multipliés plus que l'atome errant Qu'éclaire du soleil un rayon transparent, Séparés ou groupés, par couches, par étages, En vagues, en écume, ont inondé ses plages, Si nombreux, si pressés, que notre oeil ébloui, Qui poursuit dans l'espace un astre évanoui, Voit cent fois dans le champ qu'embrasse sa paupière Des mondes circuler en torrents de poussière ! Plus loin sont ces lueurs que prirent nos aïeux Pour les gouttes du lait qui nourrissait les dieux ; Ils ne se trompaient pas ces perles de lumière, Qui de la nuit lointaine ont blanchi la carrière, Sont des astres futurs, des germes enflammés Que la main toujours pleine a pour les temps semés, Et que l'esprit de Dieu, sous ses ailes fécondes, De son ombre de feu couve au berceau des mondes. C'est de là que, prenant leur vol au jour écrit, Comme un aiglon nouveau qui s'échappe du nid, Ils commencent sans guide et décrivent sans trace L'ellipse radieuse au milieu de l'espace, Et vont, brisant du choc un astre à son déclin, Renouveler des cieux toujours à leur matin. Et l'homme cependant, cet insecte invisible, Rampant dans les sillons d'un globe imperceptible, Mesure de ces feux les grandeurs et les poids, Leur assigne leur place et leur route et leurs lois, Comme si, dans ses mains que le compas accable, Il roulait ces soleils comme des grains de sable ! Chaque atome de feu que dans l'immense éther Dans l'abîme des nuits l'oeil distrait voit flotter, Chaque étincelle errante aux bords de l'empyrée, Dont scintille en mourant la lueur azurée, Chaque tache de lait qui blanchit l'horizon, Chaque teinte du ciel qui n'a pas même un nom, Sont autant de soleils, rois d'autant de systèmes, Qui, de seconds soleils se couronnant eux-mêmes, Guident, en gravitant dans ces immensités, Cent planètes brûlant de leurs feux empruntés, Et tiennent dans l'éther chacune autant de place Que le soleil de l'homme en tournant en embrasse, Lui, sa lune et sa terre, et l'astre du matin, Et Saturne obscurci de son anneau lointain ! Oh ! que tes cieux sont grands! et que l'esprit de l'homme Plie et tombe de haut, mon Dieu! quand il te nomme ! Quand, descendant du dôme où s'égaraient. ses yeux, Atome, il se mesure à l'infini des cieux, Et que, de ta grandeur soupçonnant le prodige, Son regard s'éblouit, et qu'il se dit Que suis-je ? Oh ! que suis-je, Seigneur ! devant les cieux et toi ? De ton immensité le poids pèse sur moi, Il m'égale au néant, il m'efface, il m'accable, Et je m'estime moins qu'un de ces grains de sable, Car ce sable roulé par les flots inconstants, S'il a moins d'étendue, hélas ! a plus de temps ; Il remplira toujours son vide dans l'espace Lorsque je n'aurai plus ni nom, ni temps, ni place ; Son sort est devant toi moins triste que le mien, L'insensible néant ne sent pas qu'il n'est rien Il ne se ronge pas pour agrandir son être, Il ne veut ni monter, ni juger, ni connaître, D'un immense désir il n'est point agité ; Mort, il ne rêve pas une immortalité ! Il n'a pas cette horreur de mon âme oppressée, Car il ne porte pas le poids de ta pensée ! Hélas ! pourquoi si haut mes yeux ont-ils monté ? J'étais heureux en bas dans mon obscurité, Mon coin dans l'étendue et mon éclair de vie Me paraissaient un sort presque digne d'envie ; Je regardais d'en haut cette herbe; en comparant, Je méprisais l'insecte et je me trouvais grand ; Et maintenant, noyé dans l'abîme de l'être, Je doute qu'un regard du Dieu qui nous fit naître Puisse me démêler d'avec lui, vil, rampant, Si bas, si loin de lui, si voisin du néant ! Et je me laisse aller à ma douleur profonde, Comme une pierre au fond des abîmes de l'onde ; Et mon propre regard, comme honteux de soi, Avec un vil dédain se détourne de moi, Et je dis en moi-même à mon âme qui doute Va, ton sort ne vaut pas le coup d'oeil qu'il te coûte ! Et mes yeux desséchés retombent ici-bas, Et je vois le gazon qui fleurit sous mes pas, Et j'entends bourdonner sous l'herbe que je foule Ces flots d'êtres vivants que chaque sillon roule Atomes animés par le souffle divin, Chaque rayon du jour en élève sans fin, La minute suffit pour compléter leur être, Leurs tourbillons flottants retombent pour renaître, Le sable en est vivant, l'éther en est semé, Et l'air que je respire est lui-même animé ; Et d'où vient cette vie, et d'où peut-elle éclore, Si ce n'est du regard où s'allume l'aurore ? Qui ferait germer l'herbe et fleurir le gazon, Si ce regard divin n'y portait son rayon ? Cet oeil s'abaisse donc sur toute la nature, Il n'a donc ni mépris, ni faveur, ni mesure, Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! Et je sens ce rayon m'échauffer de sa flamme, Et mon coeur se console, et je dis à mon âme Homme ou monde à ses pieds, tout est indifférent, Mais réjouissons-nous, car notre maître est grand ! Flottez, soleils des nuits, illuminez les sphères ; Bourdonnez sous votre herbe, insectes éphémères ; Rendons gloire là-haut, et dans nos profondeurs, Vous par votre néant, et vous par vos grandeurs, Et toi par ta pensée, homme ! grandeur suprême, Miroir qu'il a créé pour s'admirer lui-même, Echo que dans son oeuvre il a si loin jeté, Afin que son saint nom fût partout répété. Que cette humilité qui devant lui m'abaisse Soit un sublime hommage, et non une tristesse ; Et que sa volonté, trop haute pour nos yeux, Soit faite sur la terre, ainsi que dans les cieux !

Période: 20e siècle Des milliers d’étoiles dans le ciel, Des milliers d’oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d’abeilles sur les fleurs, Des milliers de coquillages sur les plages, Des milliers de poissons dans les mers, Et seulement, seulement une maman. André Bay E-mail Poésies les plus vues C'est la rentrée

I Je sors, Il y a des milliers de pierres dans le ciel, J'entends De toute part le bruit de la nuit en crue. Est-il vrai, mes amis, Qu'aucune étoile ne bouge? Est-il vrai Qu'aucune de ces barques pourtant chargées D'on dirait plus que la simple matière Et qui semblent tournées vers un même pôle Ne frémisse soudain, ne se détache De la masse des autres laissée obscure? Est-il vrai Qu'aucune de ces figures aux yeux clos Qui sourient à la proue du monde dans la joie Du corps qui vaque à rien que sa lumière Ne s'éveille, n'écoute? N'entende au loin Un cri qui soit d'amour, non de désir? II Elle ouvrirait, sans bruit, Elle se risquerait dans le vent de mer Telle une jeune fille qui sort de nuit Soulevant une lampe qui répand Sa clarté, qui l'effraye aussi, sur ses épaules, Et se retourne, mais le monde va sans réponse, Le bruit des pas de ceux qui devraient ouvrir Leur porte sous les arbres, et la rejoindre Ne sonne pas encore dans la vallée. Les choses sont si confiantes pourtant, L'agneau si complaisant à la main qui tue, Et les regards sont si intenses parfois, Les voix se troublent si mystérieusement quand on prononce Certains mots pour demain, ou au secret Des fièvres et des invites de la nuit. Est-il vrai que les mots soient sans promesse, Éclair immense en vain, Coffre qui étincelle mais plein de cendres? III En d'autres temps, mes amis, Nous aurions écouté, ne parlant plus Soudain, Bruire la pluie de nuit sur les tuiles sèches. Nous aurions vu, courbé Sous l'averse, courant La tête protégée par le sac de toile, Le berger rassembler ses bêtes. Nous aurions cru Que le couteau de la foudre dévie Parfois, compassionné, Sur le dos laineux de la terre. Nous aurions aperçu, qui se dispersent Chaque fois que c'est l'aube, Les rêves qui déposent, couronnés d'or, Leur étincellement près d'une naissance. IV Et fût-elle venue S'asseoir auprès de nous, l'incohérente, La vieille qui n'a plus que le souvenir, Reste, l'un d'entre nous Eût dit, reste, détends tes mains noircies par la fumée, Parle-nous, instruis-nous, ô vagabonde. Le ciel était scellé pourtant, comme aujourd'hui, La barque de chaque chose, venue chargée D'un blé du haut du monde, restait bâchée À notre quai nocturne, brillant à peine De simplement la pluie dans le vent de mer. Et on rentrait le soir les mêmes bêtes lasses, La mort était servante parmi nous À recueillir le lait qui a goût de cendre. V Je sors. Je rêve que je sors dans la nuit de neige. Je rêve que j'emporte Avec moi, loin, dehors, c'est sans retour, Le miroir de la chambre d'en haut, celui des étés D'autrefois, la barque à la proue de laquelle, simples, Nous allions, nous interrogions, dans le sommeil D'étés qui furent brefs comme est la vie. En ce temps-là C'est par le ciel qui brillait dans son eau Que les mages de nos sommeils, se retirant, Répandaient leurs trésors dans la chambre obscure. VI Et la beauté du monde s'y penchait Dans le bruissement du ciel nocturne, Elle mirait son corps dans l'eau fermée Des dormeurs, qui se ramifie entre des pierres. Elle approchait bouche et souffle confiants De leurs yeux sans lumière. Elle eût aimé Qu'au repli de sa robe fermée encore Paraisse sous l'épaule le sein plus clair, Puis le jour se levait autour de toi, Terre dans le miroir, et le soleil Ourlait ta nuque nue d'une buée rouge. Mais maintenant Me voici hors de la maison dont rien ne bouge Puisqu'elle n'est qu'un rêve. Je vais, je laisse N'importe où, contre un mur, sous les étoiles, Ce miroir, notre vie. Que la rosée De la nuit se condense et coule, sur l'image. VII Ô galaxies Poudroyantes au loin De la robe rouge. Rêves, Troupeau plus noir, plus serré sur soi que les pierres Je vais, Je passe près des amandiers sur la terrasse. Le fruit est mûr. J'ouvre l'amande et son cœur étincelle. Je vais. Il y a cet éclair immense devant moi, Le ciel, L'agneau sanglant dans la paille. Yves Bonnefoy Elève : Poésie à mémoriser (2 lignes chaque jour) et à réciter à maman le dimanche 7 juin . Une Maman Des milliers d’étoiles dans la ciel , Des milliers d’oiseaux dans les arbres , Des milliers de fleurs au jardin , Des milliers d’abeilles sur les fleurs , Des milliers de coquillages sur les plages , Des milliers de poissons dans les mers , Et seulement , Traductions et commentaires des poèmes zen de Thich Nhat Hanh affichés dans les salles de notre maître Thây a offert des versets parallèlesLes versets parallèles que l’on peut aussi désigner sous le terme de couplets’ sont une forme de poésie vietnamienne, dont chaque vers comprend le même nombre de mots, variant généralement de quatre à sept. Bien souvent, les caractères associés appartiennent aussi à la même catégorie lexicale nom-nom, verbe-verbe, etc..créés de sa propre main, pour chaque salle de méditation. Ils sont accrochés de part et d’autre de l’autel principal et leur nature poétique sert d’inspiration à notre la première fois que nous proposons une traduction de ces vers, complétée d’un commentaire d’un aîné du Village des Pruniers. Nous espérons que ces versets vous offriront un petit aperçu de la beauté de la poésie zen de méditation Assemblée des Étoiles’ Hameau du BasLe ruisseau bouillonnant, rivière du Nectar du Dharma. Le bruissement du saule, une assemblée de milliers d'étoiles Suối tuôn róc rách dòng cam lộ Dương reo vi vút hội ngàn de méditation Assemblée des étoiles’, Hameau du BasCommentaire de Sr Hoi Nghiem C’est à l’occasion du nouvel an vietnamien de 2012 que Thây, notre Maître, a spécifiquement offert ces deux versets parallèles au Hameau du Bas. Ces deux versets contiennent les noms de la salle de méditation et du temple situés au Hameau du Bas. Le Temple du Hameau du Bas s’appelle le Temple du Nectar du Dharma, et la salle de méditation également située dans le Temple s’appelle la Salle de Méditation de l’Assemblée des Étoiles. Ces phrases peuvent être vues parallèlement les unes aux autres, à l’entrée de la salle de méditation de l’Assemblée des Étoiles. Mais bien sûr, lorsque Thây nous offre un poème, il nous offre également des joyaux d’inspiration destinés à améliorer notre deux phrases évoquent de magnifiques images. La poésie est l’art de combiner les mots, elle a le pouvoir d’éveiller des sentiments profonds chez le lecteur. C’est un véritable cadeau pour ruisseau bouillonnant, ruisseau du Nectar du Dharma. Suối tuôn róc rách dòng cam lộLorsqu’on est en présence d’un ruisseau, entendre le bouillonnement de l’eau qui coule et la voir ruisseler sur les rochers nous donne l’occasion de nous arrêter, de nous détendre et de profiter de la fraîcheur de sa beauté tranquille et paisible. Nous voulons rester là pour en profiter le plus longtemps possible. Le ruisseau est toujours là ; reste à savoir si nous le sommes pour lui… Sommes-nous préoccupés par d’autres projets, soucis, chagrins et anxiétés ? Parvenons-nous à être pleinement présents pour entendre toutes les richesses que nous offre le ruisseau ?En chacun de nous se trouvent de nombreux ruisseaux, le ruisseau de la compassion, de la compréhension, de la joie… Nous pouvons pratiquer de manière à ce que tous les cours d’eau en nous demeurent frais, vivants, fluides et non encombrés. La pratique régulière du retour à soi nous aide à générer et à maintenir le bien-être de nos ruisseaux. Comprendre et prendre le temps de revenir à soi, être pleinement présent, nous aide à élever notre source de Nectar du Dharma. Si nous avons soif, quelques gouttes de Nectar du Dharma suffisent à l’étancher nous cultivons nos ruisseaux, c’est dans l’intention de générer le courant du Nectar du Dharma en nous, d’abord pour nous-mêmes et, finalement, pour l’offrir de manière efficace aux autres. C’est quelque chose que Thây avait l’habitude de nous rappeler bien souvent. Par conséquent, lorsque nous pratiquons avec le ruisseau bouillonnant, le courant du Nectar du Dharma est vivant, prospère, et est aisément accessible pour y prendre bruissement du saule, une assemblée de milliers d'étoiles. Dương reo vi vút hội ngàn saoL’imagerie du bruissement des saules et une assemblée de milliers d’étoiles sont des images qui vous saisissent les yeux et le cœur. La beauté qui nous environne, et qui nous habite, est aussi élevée que le ciel et offre le même envoûtantement que les nombreuses étoiles rassemblées. Pourtant, la distraction peut nous faire passer complètement à côté. Et nous ratons également le calme, l’espace, l’immensité et la connexion que nous offrent les “bruissement du saule, une assemblée de milliers d’étoiles” évoque des images et des sons qui nous invitent à être présents et à communier avec la nature la nuit. La compagnie du saule bruissant et le rassemblement des milliers d’étoiles sont source de solitude et de du Bouddha Hameau NouveauSur un trône de lotus blanc, le Tathagata apparaît, Au milieu de la forêt de bambous violets, demeure Avalokiteshvara. Trên đài sen trắng Như Lai hiện Giữa rừng tre tím Quán Âm du Bouddha au Hameau NouveauCommentaire de Sr Dinh Nghiem En 1997, environ un an après l’acquisition du Hameau Nouveau par le Village des Pruniers, Thây a fait en sorte que la salle du Bouddha soit reconstruite. Et il a choisi la couleur violette pour la moquette. Les sœurs du Hameau Nouveau ont ensuite cousu des housses violettes pour les tapis et coussins de méditation. Et lors de la journée de pleine conscience qui s’est tenue au Hameau Nouveau, les frères du Hameau du Haut et les sœurs du Hameau du Bas ont gentiment taquiné leurs soeurs en rebaptisant leur hameau de “Hameau Pourpre”. Cela a duré un certain temps, jusqu’au jour où je m’en suis plainte auprès de Thây “Cher Thây, pourquoi avez-vous choisi le violet ? Désormais, où que l’on aille, nous sommes la risée des autres hameaux.” Alors Thây ouvrit un livre en chinois et, d’un doigt, m’indiqua ceci “Ne sais-tu pas que la forêt de bambous violets est la maison d’Avalokiteshvara ? Le violet est une très belle couleur.” Quelques jours plus tard, Thây offrit au Hameau Nouveau une paire de versets parallèles qu’il venait d’écrire en calligraphie. Les sœurs les fixèrent sur deux longs rouleaux de tissu violet et les accrochèrent de part et d’autre de la statue de Bouddha. Ils y sont encore aujourd’ un trône de lotus blanc, le Tathagata se manifeste. Trên đài sen trắng Như Lai hiệnChaque fois que nous mettons le pied dans la salle du Bouddha et que nous voyons le Tathagata assis sur le trône de lotus blanc, nos afflictions se dissipent. Le Tathagata est l’énergie de la compréhension, de la paix et de la solidité. Il est assis sur le lotus blanc, parfumé et pur. Mais ce lotus pousse aussi dans la boue, tout comme sa compréhension, sa paix et sa solidité sont nées des expériences de la souffrance. Si nous savons comment pratiquer, nous pouvons utiliser la boue pour faire pousser des lotus et profiter des fleurs de lotus parfumées et pures. Nous pouvons également transformer notre douleur et notre souffrance en compréhension, paix et cœur de la forêt de bambous violets, demeure Avalokiteshvara. Giữa rừng tre tím Quán Âm ngồiFace au Bouddha se trouve Avalokiteshvara, le Bodhisattva de l’écoute profonde et de la grande compassion. Nous écoutons afin de comprendre. Dès que nous comprenons, nous pouvons accepter et avoir de la compassion. Le bambou violet est une espèce de bambou à la fois magnifique et rare. Les bambous sont résistants et leurs feuilles sont de couleur verte toute l’année. Grâce à un système de racines entrelacées qui s’étendent et pénètrent profondément dans la terre, et par la nature à la fois très mince et souple de leur tige, ils sont capables de traverser les tempêtes et les ouragans sans être abattus. En pratiquant l’écoute en vue de comprendre et d’aimer comme Avalokiteshvara, nous serons solides et capables de surmonter toutes les difficultés que nous pouvons rencontrer avec nos proches et tous ceux qui nous un œil sur la deuxième partie de ces commentaires ! Nous y aborderons les versets parallèles de laSalle de méditation de l’Eau Tranquille du Hameau du Haut.
Poèmeet poésie - Fête des mères: Une maman : 2eme Primaire Une maman Des milliers d'étoiles dans le ciel, Des milliers d'oiseaux dans les arbres, Des milliers de fleurs au jardin, Des milliers d'abeilles sur
Des milliers d'étoiles dans le ciel Des milliers d'oiseaux dans les arbres Des milliers de fleurs dans les jardins Des milliers d'abeilles sur les fleurs. Mais seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Par milliers aussi les coquillages, Par millions frétillent tant de poissons, Mais il n’est qu’un seul personnage, Une étoile qui brille à la maison. C'est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement...une maman. Si je ne suis pas toujours très sage, Si souvent je veux avoir raison, Aujourd'hui, on tournera la page, Pour ta fête, je t'offre cette chanson. C'est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement... une maman. C’est seulement, seulement, Seulement, seulement, Seulement, seulement... pour toi maman. Poèmessur le thème de l'espace et de ce qu'il contient. Sur les phénomènes visibles dans le ciel, les planètes du système solaire et les étoiles et les constellations complètement lointaines. Recettes; Les

Dans le ciel étoilé par Aros par LuneDeTristesse Inspirée par le ciel étoilé se trouvant dans votre poème. Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3. par Jmd Dans le ciel étoilé de la nuit qui nous ouvre Le parcours élégant d’un avion argenté, Nos regards concentrés à cet instant découvrent Le chariot brillant si longtemps recherché. Oh ! Combien de planètes, de constellations, Miroitent chaque soir leurs diamants dans l’azur, Nos regards éblouis ne sont qu’admiration Pour ces vaisseaux lointains tournés vers le futur. Et nous autres ici au passage éphémère, Qu’allons-nous rechercher dans cette immensité, Richesses inconnues à des années-lumière, Ou prouesses des hommes, saouls de rivalité ? Alors, petit bonhomme, je regarde le soir, Cette voûte infinie brillant de mille éclats, Et guette patiemment de mon observatoire, Mon ami le Martien qui me tendra les bras. Informations mp3 Texte Aros; musique et chant JM Poète Illustrateur Interprète

v8lswmb. 380 106 143 257 147 93 335 300 144

poème des milliers d étoiles dans le ciel